Le dernier combat du chevalier
Blessé au plus profond de son cœur,
Portant une souillure dans son honneur,
Il ne voulait plus être un héros déchu,
N'étant pas de ceux qui s'avouent vaincus.
Ne croyant plus à la vie et à l'amour,
Il semblait être éteint pour toujours,
Depuis l'aggravation de sa douleur,
Lorsqu'il fut touché direct au cœur.
Aimant le peuple qui lui rendait bien,
Il voulait être lui pour l'honneur des siens
Prêt a brandir une dernière fois son épée,
Que l'on se souvienne enfin qui il était.
Le destin du monde en un dernier combat,
Survie de l'humanité en son dernier éclat,
Chevauchant au son d'un grand chœur,
Guerrier de l'absolu pour un monde meilleur.
Autrefois, une lance eut transpercé son cœur,
En lui il portait éternellement cette douleur.
Fatale blessure qu'il s'était lui même infligé,
Face à son double laissant tomber l'épée.
Au temps de sa gloire il fut le roi des fées,
Avant que celles ci l'eurent définitivement rejeté,
Depuis qu'il devint le chevalier déchu,
Quand on le crut définitivement perdu.
Sacrifié par la vie, sacrifié par l'amour,
Le poids d'une croix le suivait depuis toujours.
Vie placée sous le signe de la rédemption,
Comme pour exorciser de vieux démons.
Au coeur de la bataille on le vit surgir,
Ce fut son dernier souffle avant de mourir,
Finir une fois pour toutes en vainqueur,
Héros de la bataille avec tout son honneur.
Se battre pour le peuple et sa liberté,
Lui redonner enfin toute sa dignité,
Sauvant le monde de la tyrannie,
Il lui a fait don de sa vie.
Usant ses dernières forces en un ultime combat
Jusqu'au dernier instant ou son esprit s'en alla.
Mourir pour mieux renaître était sa volonté,
Jamais ne meurt l'âme d'un chevalier .
Portant une souillure dans son honneur,
Il ne voulait plus être un héros déchu,
N'étant pas de ceux qui s'avouent vaincus.
Ne croyant plus à la vie et à l'amour,
Il semblait être éteint pour toujours,
Depuis l'aggravation de sa douleur,
Lorsqu'il fut touché direct au cœur.
Aimant le peuple qui lui rendait bien,
Il voulait être lui pour l'honneur des siens
Prêt a brandir une dernière fois son épée,
Que l'on se souvienne enfin qui il était.
Le destin du monde en un dernier combat,
Survie de l'humanité en son dernier éclat,
Chevauchant au son d'un grand chœur,
Guerrier de l'absolu pour un monde meilleur.
Autrefois, une lance eut transpercé son cœur,
En lui il portait éternellement cette douleur.
Fatale blessure qu'il s'était lui même infligé,
Face à son double laissant tomber l'épée.
Au temps de sa gloire il fut le roi des fées,
Avant que celles ci l'eurent définitivement rejeté,
Depuis qu'il devint le chevalier déchu,
Quand on le crut définitivement perdu.
Sacrifié par la vie, sacrifié par l'amour,
Le poids d'une croix le suivait depuis toujours.
Vie placée sous le signe de la rédemption,
Comme pour exorciser de vieux démons.
Au coeur de la bataille on le vit surgir,
Ce fut son dernier souffle avant de mourir,
Finir une fois pour toutes en vainqueur,
Héros de la bataille avec tout son honneur.
Se battre pour le peuple et sa liberté,
Lui redonner enfin toute sa dignité,
Sauvant le monde de la tyrannie,
Il lui a fait don de sa vie.
Usant ses dernières forces en un ultime combat
Jusqu'au dernier instant ou son esprit s'en alla.
Mourir pour mieux renaître était sa volonté,
Jamais ne meurt l'âme d'un chevalier .
Illustration de Keith Parkinson
Musique Carl Orf-Carmina Burana